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Articles récents

Campagne soldarité Cuba

23 Février 2013 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #groupe Proudhon - FA

Souscription cuba

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Le Monde Libertaire n° 1697

16 Février 2013 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #groupe Proudhon - FA

ML 1697 rectoLe Monde Libertaire n° 1697 du 14 Février au 6 Mars 2013

 

«L’anti-pouvoir est dans la dignité de l’existence quotidienne. L’anti-pouvoir est dans les relations que nous tissons en permanence: amour, amitié, camaraderie, communauté, coopération, etc.»

John Holloway

 

Attention

Vous avez en main le n° 1697 du Monde libertaire. Le prochain numéro de votre hebdomadaire (n° 1698) ne paraîtra que le jeudi 7 mars. D’ici-là vous aurez tout loisir de lire Le Monde libertaire hors-série n° 48, disponible en kiosques à compter du vendredi 22 février.

La rédaction

 

Sommaire

Actualité

Le FMI se plante, par N. Baillargeon, page 3

Les syndicats dans le brouillard, par P. Mignard, page 4

L’État retire son faux nez, par G. Goutte, page 5

La météo syndicale de J.-P. Germain, page 6

Les culs-bénits prennent le frais, par P. Schindler, page 7

La chronique néphrétique de Rodkol, page 8

PSA en direct, par S. Larios, page 9

Arguments

La chronique de l’obscurantisme du Furet, page 10

À quand la fermeture des prisons, par J. Lesage de La Haye, page 11

Aimable bourdieuserie, par N. Potkine, page 14

Un Robinson capitaliste, par J. Langlois, page 15

International

De l’art d’encaisser, par S. Taden, page 17

Expressions

Une histoire de pigeons, par Venetza, page 18

L’horreur se vend bien, par P. Sommermeyer, page 19

Mouvement

Imprévisibles ouvriers, par Alexis, page 21

Vie du mouvement, page 22

L’agenda des anars, page 23

Illustrations

Aurelio, Kalem, Krokaga, Jhano, La Sala, Nemo

 

 

Editorial

CHOKRI BELAÏD était un leader de gauche. Il est mort, la semaine dernière, d’une crise de saturnisme foudroyante : quatre pastilles dans la carafe. C’était en Tunisie, où il y a deux ans la «Révolution de jasmin » a renversé le dictateur Ben Ali, avant de porter, par la voie démocratique des urnes, un parti de bricoleurs islamistes au pouvoir.

 

Depuis, la crise économique et sociale ne connaît pas de répit, et les Tunisiens qui réclament du travail et du pain reçoivent des coups de matraque et des gaz, généreusement distribués par la police de l’ancien régime (détestée de tous et équipée par la France), que le gouvernement bondieusard utilise sans sourciller contre les manifestants. Ce gouvernement couvre aussi les activités des bandes de voyous salafistes qui terrorisent les citoyens pour imposer leurs pratiques moyenâgeuses dans la vie quotidienne.

 

Ce sont ces fascistes que l’on soupçonne d’avoir tué Belaïd. Heureusement, la réaction populaire à ce crime est à la hauteur. Grève générale, policiers et islamistes rossés dans les rues : le peuple relève la tête, et les cafards intégristes filent sous le tapis. À l’heure où nous mettons sous presse, la panique est au sommet et la confusion règne. Le Premier ministre se propose, contre l’avis de son propre parti, de former un nouveau gouvernement, remplaçant la théocratie par la technocratie.

 

Le peuple fait trembler le pouvoir. Situation à rapprocher de celle de l’Égypte, où, après un processus similaire (chute de la dictature, rapide promotion des partis religieux, décomposition du pouvoir sous l’effet de la crise), les classes populaires sont aussi au combat. Ce qui semble indiquer que, contre l’attente des racistes et des réactionnaires, les peuples de l’autre côté de la Méditerranée, non seulement n’ont pas grand-chose à nous envier quant à l’appétit pour la liberté, mais aussi qu’ils pourraient nous en apprendre beaucoup sur les chemins de l’émancipation.

 

Souhaitons que ces routes nous sachions tous les arpenter, en nous défiant de la tentation du pouvoir d’État. Car rien de beau, grand et libre ne sera fait que la classe ouvrière n’accomplira elle-même, par ses organisations syndicales ou spontanées, sans l’intermédiaire des politiciens.

 

 

Le Monde libertaire, hebdomadaire de la Fédération anarchiste, adhérente à l'Internationale des fédérations anarchistes

Chaque jeudi en kiosque, 24 pages d'actualités en couleurs vues par les anarchistes pour deux euros cinquante

http://www.federation-anarchiste.org

Retrouvez le site web du Monde Libertaire à l' adresse suivante:

http://www.monde-libertaire.fr

 

  En vente dans toutes les bonnes librairies et donc à la librairie l'Autodidacte 5, rue Marulaz à Besançon (Ouvert le mercredi de 16h00 à 19h00 et le samedi de 15h00 à 19h00)  

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Nouveautés de l'Autodidacte

16 Février 2013 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #A lautodidacte.org

Kronstadt 1921 
Kronstadt 1921

Prolétariat contre dictature communiste Alexandre SKIRDA

 
 
Les marins de Kronstadt avaient activement participé à la révolution russe de février 1917 qui balaya le tsarisme, au nom d’aspirations comme la paix, la prise de la terre par les paysans et des usines par les ouvriers, une immense espérance symbolisée par le mot d’ordre : « Tout le pouvoir aux soviets ! ».
Lénine, leader du parti bolchévik, sut séduire par la plus grande démagogie les soviets pour, en leur nom, faire un coup d’État contre le gouvernement provisoire socialiste. Ce fut le début d’une évolution totalitaire du parti communiste (nouveau label du Parti depuis février 1918), baptisée faussement « dictature du prolétariat ». La suppression des libertés acquises devait engendrer une terrible guerre civile opposant les léninistes à tous ceux qui les contestaient. Devant le blocage des conquêtes sociales et politiques obtenues auparavant, des grèves ouvrières se déclenchèrent à Pétrograd. En mars 1921, par solidarité, éclate l’insurrection des marins, soldats et ouvriers du port militaire de Kronstadt. Les insurgés, fidèles aux idéaux de la Révolution, veulent supprimer la dictature du parti communiste au nom du pouvoir des soviets librement élus. Ceux dont Trotsky avait dit qu’ils étaient « la gloire et la fierté de la Révolution » vont être désormais présentés comme des contre-révolutionnaires, leurs mots d’ordre déformés. Encerclés et pris d’assaut, ils seront impitoyablement liquidés, une partie seulement parvenant à passer en Finlande.
S’appuyant sur des témoignages de première main, notamment celui du commandant provisoire de Kronstadt retrouvé en émigration en France, ainsi que sur des archives secrètes rendues publiques en Russie, cette étude est indispensable pour comprendre la Révolution. S’y ajoutent des documents et photos inédites des insurgés.
 Occupy    de    Noam Chomsky
Occupy
Dans Occupy, Chomsky souligne que l’un des plus grands succès du mouvement est de mettre les inégalités de la vie quotidienne à l’ordre du jour, influençant la presse, sensibilisant le public et le discours lui-même.
« En 30 ans de lutte des classes, Occupy, dit Noam Chomsky, est une réaction populaire des plus importantes », un mouvement initié par les gens de la rue et qui commence à New York le 17 Septembre 2011 ; ce mouvement se propage rapidement en de très nombreux lieux à travers le monde.
Bien que la police ait perquisitionné et fermé la plupart des campements d’origine, début 2012, on note que le mouvement se déploie très largement dans la conscience populaire.
L’énergie d’Occupy provient de l’indignation que ressentent tous les gens ignorés confrontés à une injustice sans cesse accrue. Voir des milliards de dollars d’impôts utilisés pour le maintien des banques, alors que ces mêmes banques chassent hors de chez eux les populations, provoque la colère de millions de personnes. Voir des milliards de dollars recueillis pour payer les guerres dévastatrices en Irak et en Afghanistan tandis que les politiciens font des coupes claires dans les services sociaux est tout aussi épouvantable.
La contrainte économique est la face visible du problème, la crise politique de la démocratie représentative la soustend. Chomsky aborde ces questions à travers un plaidoyer du contrôle par le travailleur, et la discussion sur l’importance de redéfinir des idées telles que la croissance. Continuer avec le modèle dominant, dit-il, c’est se mettre en position d’équilibre fragile, tout près du gouffre, tels des « lemmings au bord de la falaise ». Pour remédier à cela, il encourage la diffusion des idées pour « un mode de vie différent » basé non sur l’optimisation de notre pouvoir d’achat mais sur « l’optimisation des valeurs importantes pour la vie ».
En vente à l'autodidacte
5, rue Marulaz 25000 Besançon
Le mercredi de 16h00 à 19h00 et le samedi de 15h00 à 19h00
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Robin des banques

15 Février 2013 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #Info (s)

Le « Robin des banques », seul devant la justice espagnole

Pour avoir extorqué 500 000 euros à des banques entre 2006 et 2008 au profit des mouvements sociaux, un militant autogestionnaire espagnol est jugé cette semaine. Il encourt 8 ans de prison.

La suite sur :

 http://www.politis.fr/Le-Robin-des-banques-seul-devant,20930.html

Historique sur :

 http://cequilfautdetruire.org/spip.php?article1809

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14 février

14 Février 2013 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #Info (s)

st-valentin.jpg

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Notre histoire

13 Février 2013 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #notre histoire

kropot_cortege-copie-1.jpgFunérailles de Kropotkine
Cercueil et bannières (archives IISG)

Le 13 février 1921, à Moscou. Les funérailles de Pierre KROPOTKINE sont le théâtre de la dernière manifestation de masse des anarchistes en Russie bolchévique. Sous la pression des libertaires, des prisonniers anarchistes sont relâchés pour leur permettre d'assister aux obsèques. Une foule de cent mille personnes suit le cercueil jusqu'au cimetière. Des drapeaux noirs sont déployés, mais aussi des banderoles proclamant : "Où il y a de l'autorité, il n'y a pas de liberté" , ou encore "Les anarchistes demandent à être libérés de la prison du socialisme" ).
Une fois au cimetière, divers orateurs rendent un dernier hommage à l'auteur de "La conquête du pain".
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Grèce : une usine relancée en autogestion

13 Février 2013 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #luttes sociales

Grèce : une usine relancée en autogestion

C’est une première en Grèce : ce mardi 12 février, une usine fermée ré-ouvre en autogestion. A Thessalonique, deuxième ville du pays, les salariés de l’entreprise Viomichaniki Metaleftiki, dite Vio-Me, reprennent les commandes du site de matériaux de construction, à l’arrêt depuis le départ de la direction en mai 2011, avec l’ambition d’adapter la production à leurs valeurs. Dans un pays miné par trois ans d’ajustement structurel, alors que le gouvernement vient d’entamer une vaste opération de police pour éliminer tous les "foyers d’illégalisme du pays", les travailleurs de Vio-Me ont d’urgence besoin de soutien politique, financier et moral. D’où l’appel qui suit.

Cet hiver, lors de son itinérance à Thessalonique, la Revue Z a rencontré ces travailleurs et leur consacre un reportage dans son numéro à paraître en mai.

Une usine grecque occupée reprise en autogestion

« Pour nous, c’est la seule façon de donner un avenir aux luttes des travailleurs », Makis Anagnostou, porte-parole du syndicat des travailleurs de Vio-Me.

Ce mardi 12 février marque officiellement le premier jour de fonctionnement en autogestion de l’usine Viomichaniki Metalleutiki (Vio-Me), située à Thessalonique, en Grèce. Il s’agit d’une production sans chefs ni hiérarchie qui est organisée directement par les travailleurs réunis en assemblées démocratiques. L’assemblée des travailleurs de Vio-Me a décidé de mettre fin à l’inégalité de ressources en décidant collectivement de salaires égaux et justes. L’usine produit des matériaux de construction que les travailleurs ont déclaré vouloir transformer progressivement en matériaux respectueux de l’environnement.

 

La suite sur:http://paris.indymedia.org/spip.php?article12909

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Benito Seizième démissionne

12 Février 2013 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #groupe Proudhon - FA

Joseph Ratzinger, aka le pape Benoît XVI, a donc annoncé sa démission, qui a entraîné une vague de réactions de politicards soucieux de lui témoigner leur “respect”.

BenoitXVI

Pour rappel, Joseph Ratzinger était devenu préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi (dont l’ancien nom était l’inquisition). Il avait alors condamné de nombreux théologiens, notamment parmi ceux qui dénonçaient la trop forte hiérarchie de l’Eglise ou encore la misère dans le monde (accusés de soutenir une conception “marxiste” du “prolétariat”), suscitant la consternation chez nombre d’intellectuels catholiques. Droit dans ses bottes, il avait canonisé des prêtres morts pendant la guerre civile d’Espagne… au même moment où Zapatero reconnaissait les combattants républicains contre la dictature fasciste de Franco.

 

Proche de l’extrême-droitière Opus Dei dont il admire le fondateur, le franquiste Josemaría Escrivá de Balaguer, il est soucieux de rapprocher l’Eglise catholique de sa branche intégriste scissionniste, en réhabilitant quatre prêtres excommuniés, dont un négationniste. Il dira regretter ce geste, de même qu’il se défendra d’avoir attaqué l’islam lors de son discours de Ratisbonne en citant Manuel II : “Montrez-moi donc ce que Mahomet a apporté de nouveau. On ne trouvera que des choses mauvaises et inhumaines”. Force est de constater que le “Panzerkardinal” a maintenu une ligne très conservatrice.

 

Il s’est ainsi opposé à toute évolution de la doctrine concernant par exemple la laïcité (dénonçant le “laïcisme”), le célibat des prêtres, les prêtres femmes, la contraception (l’usage de la capote selon lui “aggrave le sida”) et l’avortement – y compris dans les cas où la santé de la femme est en jeu… Rappelons aussi que Benoît XVI avait validé, par la voix du préfet de la congrégation pour les évêques, l’excommunication de la mère d’une fillette de neuf ans violée par son beau-père, pour avoir aidé sa fille à avorter.

 

Suivant sa résolution à combattre la “morale dissolue”, il a aussi condamné   l’homosexualité, tout en affirmant dans le même temps que les homos avaient droit au respect. Il a fait interdire que des homos ou des hommes promouvant la “culture gay” entrent en séminaire. Il a aussi qualifié l’homosexualité “d’injuste”. Il n’a pas démenti les assertions du cardinal Bertone, selon lesquelles il y aurait un lien entre homosexualité et pédophilie. Au contraire, le Vatican les a reprises, alors même que le pontificat de Benito XVI fut éclaboussé par le scandale de la pédophilie au sein de l’Eglise catholique. Promoteur du mariage de l’homme et de la femme, il va jusqu’à dire, évoquant en creux le mariage homo, que “les politiques qui portent atteinte à la famille menacent la dignité humaine et l’avenir même de l’humanité” (!)

 

 

Le seul mérite de ce pape aura été d’avoir un peu plus vidé les bancs des églises par ses déclarations odieuses. Mais l’influence de l’Eglise sur les sociétés, notamment en matière d’homophobie et de rejet de droits des femmes, demeure hélas bien trop forte. Il nous faut continuer de lutter pied à pied contre la domination religieuse sur les esprits et les corps.

 

Posted on by Pavillon Noir

Source: http://fa86.noblogs.org/?p=8049

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Ce soir à l'Autodidacte

11 Février 2013 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #groupe Proudhon - FA

conference anar

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Observatoire du nucléaire

10 Février 2013 , Rédigé par groupe Proudhon FA Publié dans #Nucléaire

 
 

Communiqué du samedi 2 février 2013

 

 

Procès Areva : dans un an !

L'Observatoire du nucléaire
dénonce la lenteur de la justice

 

- Le procès est finalement fixé au vendredi... 20 décembre 2013 : pratiquement dans un an !

- Ce délai insensé permet à Areva de maintenir la pression sur l'Observatoire du nucléaire

- L'Observatoire maintient toutes les accusations portées contre Areva... et va continuer à agir

 

 

L'audience qui s'est tenue hier vendredi 1er février au Tribunal de grande instance de Paris a permis de fixer la date du Procès intenté par Areva à l'encontre de l'Observatoire du nucléaire. Or, la première date disponible pour une audience d'une durée de deux heures était le vendredi... 20 décembre 2013 !

Le procès aura donc lieu plus d'un an après la publication (le 9 décembre 2012) du communiqué de l'Observatoire du nucléaire considéré par Areva comme de la "diffamation". L'Observatoire proteste contre le manque de moyens de la justice : le gouvernement devrait s'occuper de ce grave problème au lieu de mettre en place, avec l'argent public, un Fonds d'aide à l'industrie de l'atome.

Ce délai totalement insensé - un an ! -  donne un sursis inespéré à Areva et lui permet de maintenir la pression sur l'Observatoire du nucléaire, menacé de disparition du fait du montant des pénalités demandées par Areva.

Pour autant, l'Observatoire du nucléaire va continuer inlassablement son action et, concernant l'affaire présente, maintient toutes ses accusations contre Areva, et continue à poser les questions qui dérangent la multinationale atomique :

 

- Areva a-t-elle fait un curieux "don" de 35 millions d'euros au Niger ?

- Ce don sert-il à l'achat d'un avion pour le Président du Niger ?

- S'agit-il d'une "manœuvre relevant de la corruption" ?

- Pourquoi Areva veut-elle la disparition de l'Observatoire du nucléaire ?

- Quels liens avec l'intervention militaire français au Mali ?

- Pourquoi le ministre EELV du Développement aide-t-il Areva ?

 

Pour mémoire, dans un premier temps, Areva a nié l'existence de son curieux "don" (26 millions d'euros plus 9 millions l'an prochain) fait au Niger (cf dépêche AFP du 12 décembre). Puis, face aux pièces mises en ligne par l'Observatoire du nucléaire, Areva a fini par reconnaître l'existence de ce "don"... tout en prétendant qu'il ne fallait rien y voir de compromettant.

Pourtant, le compte-rendu confidentiel d'une rencontre entre des dirigeants d'Areva et le chef de cabinet du Président du Niger, révélé par l'Observatoire du nucléaire, permet de constater que Areva, aujourd'hui comme autrefois, dicte ses volontés aux dirigeants du Niger et, pour finir, décide d'accorder un "don", comme un "bienfaiteur" secourant un défavorisé.

Cela n'a rien à voir avec une taxe qui aurait été infligée par le Niger à Areva, coupable de s'arroger l'uranium du Niger à bas prix depuis 40 ans. D'ailleurs, une telle taxe se monterait en milliards d'euros et non à 35 millions, une somme qui relève bien plus du "dessous de table".

L'Observatoire du nucléaire est une des rares voix qui, tout en dénonçant les agissements ignobles des groupes islamistes, s'élèvent (cf Tribune ) pour estimer que l'intervention militaire française au Mali vise avant tout à sécuriser les mines d'uranium d'Areva au Niger voisin.

 

 

Enfin, après avoir questionné le ministre EELV du développement, Pascal Canfin, en direct sur France inter le 21 janvier, l'Observatoire du nucléaire reste sidéré par la réponse de cet ancien membre de la "Commission spéciale du Parlement européen sur la criminalité organisée, la corruption et le blanchiment de capitaux", puisqu'il a "justifié" la manoeuvre d'Areva...

 

Observatoire du nucléaire - http://www.observatoire-du-nucleaire.org 

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