Kronstadt

Le 8 mars 1921, les communistes commencent un bombardement aérien sur la population pacifique de Kronstadt*.
*Le 28 février 1921, début de la révolte des marins de Kronstadt qui s'insurgent contre le pouvoir des commissaires bolcheviques et contre la pénurie de nourriture et de denrées diverses. Les marins, fers de lance de la révolution russe, se prononcent pour des "Soviets libres", dégagés de la tutelle politique des commissaires. Dès janvier 1921, 5000 marins avaient démissionné du parti communiste. Au mouvement pour de meilleures conditions de vie, se mêleront de fortes aspirations libertaires.
Source : http://ephemanar.net
Le Comité Révolutionnaire Provisoire de Kronstadt, via radiotélégramme :
"Kronstadt libérée parle aux ouvrières du monde entier : Nous, ceux de Kronstadt, sous le feu des armes, sous les mugissements des obus qui déferlent sur nous (...) adressons notre salut fraternel aux travailleuses du monde."
Réseau Universités Sans Frontières de Franche-Comté
Le Réseau Universités Sans Frontières de Franche-Comté prend acte des réponses du Président de l’UFC à l’Est Républicain (« Du nouveau pour les étudiants étrangers », Joël
Mamet, 28/02/09) et tient à apporter un certain nombre d’éclaircissements.
Tout d’abord, les exemples de personnes entrées illégalement sur le
territoire français et désireuses de s’inscrire à l’université sont rarissimes et inconnus en Franche-Comté. Les cas d’étudiants défendus par le RUSF sont de trois ordres :
· les étudiants étrangers qui éprouvent
des difficultés, redoublent ou se réorientent.
· les demandeurs d’asile qui se sont inscrits à l’université et qui ensuite sont
déboutés .
· les personnes entrées en France avec le mauvais visa.
Dans tous les cas, ces étudiants sont des victimes de la machine à fabriquer des sans-papiers. Il est totalement faux d’avancer que la levée des contrôles des papiers des étrangers à l’UFC va provoquer un afflux sans précédent de personnes en situation irrégulière.
L’adhésion de l’UFC au Centre pour les Etudes en France (CEF) ne va en rien améliorer la situation des étudiants étrangers. En effet, la création des CEF n’a pas facilité l’obtention des visas puisque les consulats gardent le maître mot. Si, en Asie notamment, un avis positif du CEF donne peut-être l’assurance d’avoir un visa ; cela ne signifie pas que tous les étudiants qui passent par le CEF obtiennent un avis positif ! En Afrique et au Maghreb, un avis positif du CEF ne signifie même pas l’octroi d’un visa. Par contre, les frais encourus par ces candidats aux études en France ont été décuplés.
Quoi qu’il en soit, nous nous étonnons que le Président présente cette adhésion comme un fait acquis alors que la décision incombe au Conseil d’Administration.
La création d’un « guichet unique » ne modifie rien non plus à la situation des étudiants sans papiers. Nous accompagnons déjà les étudiants étrangers en difficulté à la préfecture, nous continuerons à le faire dans ce « guichet unique ».
Enfin, l’exemple donné des étudiants ivoiriens hébergés à l’asile de nuit est inopérant puisque ces étudiants étaient en situation régulière. Dans de tels cas, l’Université de Franche-Comté devrait intervenir auprès du CROUS pour que la réalité des salaires dans la plupart des pays d’origine deces étudiants soit prise en compte. Ces étudiants ont été acceptés et ils doivent être traités avec respect.
Pour toutes ces raisons, nous nous déclarons nullement satisfaits par les réponses apportées par le Président de l’UFC et appelons à poursuivre les signatures de notre pétition : http://www.educationsansfrontieres.org/?article17939.
RUSF-FC
Besançon, le 28 février 2009
Collectif AntiOtan25
Le collectif AntiOtan25, récemment constitué autour des différentes organisations libertaires bisontines, rassemble les individus désirant manifester leur opposition au prochain sommet de
l'institution militaire et meurtrière OTAN qui doit se réunir à Strasbourg, en France, et à Baden-Baden, en Allemagne, du 3 au 5 avril.
Un contre sommet international est organisé du 1er au 5 Avril, et le collectif AntiOtan25 est investi localement dans la préparation et organisation de cet évènement. Dans ce but, le projet d'un voyage en bus pour la manifestation du Samedi 4 Avril à Strasbourg nous est apparu comme nécessaire afin de permettre aux individus le désirant de participer au contre sommet et de disposer d'un moyen de transport simple et pratique.
Nous appelons toute organisation, individu, réseau, groupe intéressé à nous contacter afin de participer à ce projet et à transmettre cette information à ces militants et à nous rejoindre pour une réunion de coordination le mercredi 11 mars à 19H, RDV Hall de la Faculté des lettres.
Salutations antimilitaristes
antiotan25@gmail.com
Bombardons l'OTAN !!
BOMBARDONS L'OTAN !!
La fabrication et le transport d'explosifs ça coûte cher... On a besoin de votre soutien !
Les révoltes qui secouent actuellement l'Europe et le reste du monde sont une réaction à la situation économique et sociale globale qui s'aggrave à un rythme
exponentiel. L’appauvrissement des ressources occasionne également de nombreux conflits. Le FMI a ainsi demandé aux pays de se préparer à faire face à de nombreuses insurrections en raison de la
récession généralisée, insistant sur l'importance de pouvoir contrôler ces résistances pour assurer la sécurité du capitalisme.
A l'heure actuelle, l'OTAN semble vouloir se placer comme force armée au service d'une sécurité globale, fusionnant sécurité intérieure et extérieure, ce qui implique une vision militaire de la
gestion de tout type de crises. Dans les faits, nous savons que se sont uniquement leurs propres intérêts qu'ils tentent de protéger et d'élargir…
Les 3 et 4 avril les représentantEs des pays membres de L'OTAN se réuniront de nouveau pour fêter certes leurs 60 ans de domination, mais surtout afin de mettre au point leur nouveau plan de «
défense des libertés» et selon les termes de leurs généraux : « une grande stratégie pour un monde incertain ».
Du 1er au 5 avril 2009 nous serons donc présentEs à Strasbourg et nous nous opposerons à leur « mondialisation par la force » de par la créativité de nos actions résistantes : actions directes,
blocages, désobéissances civiles, rencontres, village autogéré, centres de convergence, arts autonomes,…
Pour la libération de Julien Coupat
Si vous passez à Paris
Rassemblement vendredi 6 mars 2009 pour la libération de Julien Coupat.
Rendez-vous à 14H devant la chambre de l'instruction, esc. A, au Tribunal de Grande Instance de Paris (M°cité).
Ce vendredi 6 mars, après un nouveau rejet de la demande de mise ne liberté de Julien Coupat par le Juge des Libertés (alors qu’un autre Juge des libertés, dessaisis depuis, l’avait jugé libérable le 19 décembre 2008), la cour d’appel devra déterminer si ce rejet est fondé. Force est de constater que le dossier des mis en examens dans l’affaire dite « des sabotages de la SNCF » n’a cessé depuis novembre de se dégonfler, que les détenus ont été un à un libérés sans que jamais un seul nouvel élément à charge ne soit porté à la connaissance de la défense et a fortiori du public.
Julien Coupat est le dernier des neuf mis en examen dans cette affaire à être encore en « détention préventive », sous le chef d’inculpation de « direction d’association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste ». Ce chef d’inculpation relève du régime « criminel » et l’expose à une peine pouvant aller jusqu’à 20 ans de prison.
Nous considérons que les pouvoirs publics et l’institution judiciaire cherchent à ne pas perdre la face en reportant tout leur acharnement sur une figure de « chef » qu’ils ont eux-mêmes monté de toutes pièces. Nous appelons donc à un rassemblement pour exiger la libération de Julien et la fin d’un feuilleton politico judiciaire qui n’a que trop duré.
A faire circuler.
Le Réseau "Sortir du nucléaire"
Le Réseau "Sortir du nucléaire" publie un journal "Peut-on recycler les déchets nucléaires ?" pour mieux comprendre le mythe du "cycle nucléaire" et les risques du
plutonium
Le Réseau "Sortir du nucléaire" vient de publier un journal d'information grand public "Peut-on recycler les déchets nucléaires ? (Coûts, risques et enjeux de
l'industrie du plutonium)".
Thème vedette de la communication d'EDF ou d'AREVA, fierté technique de la France, le "traitement-recyclage" est présenté au grand public comme une solution au problème des déchets nucléaires.
Qu'en est-il e réalité ? C'est la question qui a été étudiée pendant plus de six mois par un groupe de travail piloté par le Réseau "Sortir du Nucléaire".
Rassemblant des informations vérifiées et vérifiables, recoupant les documents officiels et les études d'experts indépendants, ce travail d'enquête minutieux a abouti à la publication d'un
journal de 12 pages. Les sources complètes sont mises à disposition sur le site :
http://echanges.sortirdunucleaire.org/course/view.php?id=13
Le lecteur pourra comprendre en quoi consiste réellement ce que l'on appelle "retraitement", et quel alibi il fournit à l'industrie nucléaire française. Il connaîtra le risque du plutonium et de
l'usine de retraitement de La Hague. Il découvrira la surprenante stratégie mondiale de l’industrie du plutonium et son lien avec le développement de l'arme atomique sur la planète.
A destination du grand public, des associations, des bibliothèques, des institutions, le journal "Peut-on recycler les déchets nucléaires ?" est un document indispensable pour comprendre les
enjeux réels de ce problème. En tant que contre-pouvoir citoyen, le Réseau "Sortir du nucléaire" offre une analyse qui se révèle indispensable face à la publicité des grands groupes industriels
du secteur nucléaire.
Ce journal de 12 pages est vendu au prix de 2 € l'unité. Il est téléchargeable gratuitement ici :
http://boutique.sortirdunucleaire.org/product_info.php?products_id=151
Un exemplaire peut être envoyé gratuitement aux journalistes sur simple demande auprès du Réseau "Sortir du nucléaire".
Réseau "Sortir du nucléaire", Fédération de 840 associations.
9 rue Dumenge, 69317 Lyon Cedex 04
Tel : 04 78 28 29 22 Fax: 04 72 07 70 04
Mail : contact@sortirdunucleaire.fr
Site : http://www.sortirdunucleaire.fr