Ne nous laissons pas terroriser par l'état

SI VOUS PASSEZ A PARIS CE WEEK END
Manif 31/01 Paris NE NOUS LAISSONS PAS TERRORISER PAR L’ETAT
Comme il l’a montré ces derniers mois, l’Etat, sous couvert d’antiterrorisme notamment, cherche à criminaliser toute forme de contestation, qu’il s’agisse de modes de vie alternatifs ou de participation aux luttes sociales. Gardes à vue, perquisitions, détentions préventives, violences policières. Tous les moyens sont bons pour faire taire celles et ceux qui luttent et résistent.
C’est pourquoi nous appelons l’ensemble du mouvement social à manifester le SAMEDI 31 JANVIER dès 15h00 de Luxembourg à Denfert Rochereau.
Fédération anarchiste, CGA, AL, CNT, SCALP
Attaque fasciste d'un concert à Reims
ATTAQUE FASCISTE D'UN CONCERT A REIMS
Samedi 24 janvier 2009, vers 23h, un concert clairement étiqueté antiraciste a
été attaqué par une quinzaine de personnes cagoulées.
Cette attaque fut brève mais d'une rare violence ; les agresseurs étaient armés de battes de baseball, de poings américains, de fumigènes, lacrymo et cocktail molotov. Profitant d'une pause
musicale, des personnes étaient sorties discuter juste devant le bar et ont subit leur furie. Parmi les victimes les plus durement touchées (outre les blessures psychologiques et plus légères),
une jeune étudiante a reçu deux coups de batte de base-ball portés au visage et un à la jambe pendant que deux personnes la ceinturaient. Après l'intervention des pompiers qui ont emmené les
blessés les plus sérieux aux urgences, tout le public est resté sur place abasourdi par la violence et la lâcheté de cette attaque. Ces derniers mois, s'ajoute au lourd passif rémois une
progression inquiétante de l'extrême droite et du néo-nazisme, dans notre ville et plus largement au niveau national. C'est pourquoi la mobilisation de chacun est plus que jamais nécessaire et
d'actualité. " Leur avancées sont faites de nos reculs,
Leur recul sera fait de nos avancées communes "
Contacts :
Reims City Rockers (organisateur du concert) : reimscityrockers51 free.fr
CLA (Collectif de Lutte Antifasciste) : CLA rlfreims.lautre.net
Toutes et tous en grève et ensemble dans la rue ! Grève Générale !le 29 et après
La grève du 29 janvier ne doit pas rester sans lendemain !
Si elle n’est pas suivie de reconductions, la grève du 29 janvier ne règlera pas les problèmes. Le mouvement social saura-t-il prendre l’avantage ?
La grève du 29 janvier ne doit pas rester sans lendemain !
Les appels à cesser le travail se multiplient et il est fort probable que la journée de grève du 29 janvier sera massivement suivie, tant dans la fonction publique que dans le secteur privé. Cependant, la façon dont cette journée est calibrée la fait entrer dans ce qu’un ancien premier ministre de Chirac avait appelé la « nécessaire respiration sociale ». Autrement dit, le pouvoir délègue aux organisations syndicales la charge de soulever la soupape pour que tout revienne à la normale une fois la pression retombée. Le procédé est d’une redoutable efficacité et fonctionne à merveille depuis longtemps... Seulement, ce 29 janvier s’inscrit dans un contexte particulièrement tendu pour ceux qui ne vivent que de leur force de travail : le recours au chômage partiel est en passe de devenir la règle, sur une base de 1000 heures désormais autorisées, le chômage s’emballe, et les statistiques sont impuissantes à maquiller sa progression, les suppressions de postes et de lits font des hôpitaux des endroits dangereux , la répression d’Etat frappe tous ceux qui luttent, bref, l’insécurité sociale règne en maître absolu...
Conscient que le danger d’un embrasement général n’est pas à écarter, le pouvoir joue pleinement son rôle de gendarme du capitalisme : il manie la carotte et le bâton. D’un côté, il temporise face aux lycéens, de l’autre, il met en marche le rouleau compresseur de la justice contre ceux qui s’insurgent, ce qui le place en position de force tant que le mouvement social s’inscrit docilement dans le cadre étriqué des grèves carrées de vingt-quatre heures. Bien évidemment, la Fédération anarchiste appelle le 29 janvier à cesser le travail partout, à manifester massivement. Néanmoins, l’essentiel tient dans une seule question : que faire si , comme c’est probable, le gouvernement ne donne le 29 au soir aucun signe qu’il a compris ce que nous voulons ? La réponse pourrait être : reconduisons la grève, exproprions le capital, gérons nous-mêmes nos lieux de travail et nos conditions d’existence, sans patrons ni Etat !
Fédération anarchiste
La grève du 29 janvier ne doit pas rester sans lendemain !
La grève du 29 janvier ne doit pas rester sans lendemain !
Si elle n’est pas suivie de reconductions, la grève du 29 janvier ne règlera pas les problèmes. Le mouvement social saura-t-il prendre l’avantage ?
La grève du 29 janvier ne doit pas rester sans lendemain !
Les appels à cesser le travail se multiplient et il est fort probable que la journée de grève du 29 janvier sera massivement suivie, tant dans la fonction publique que dans le secteur privé. Cependant, la façon dont cette journée est calibrée la fait entrer dans ce qu’un ancien premier ministre de Chirac avait appelé la « nécessaire respiration sociale ». Autrement dit, le pouvoir délègue aux organisations syndicales la charge de soulever la soupape pour que tout revienne à la normale une fois la pression retombée. Le procédé est d’une redoutable efficacité et fonctionne à merveille depuis longtemps... Seulement, ce 29 janvier s’inscrit dans un contexte particulièrement tendu pour ceux qui ne vivent que de leur force de travail : le recours au chômage partiel est en passe de devenir la règle, sur une base de 1000 heures désormais autorisées, le chômage s’emballe, et les statistiques sont impuissantes à maquiller sa progression, les suppressions de postes et de lits font des hôpitaux des endroits dangereux , la répression d’Etat frappe tous ceux qui luttent, bref, l’insécurité sociale règne en maître absolu...
Conscient que le danger d’un embrasement général n’est pas à écarter, le pouvoir joue pleinement son rôle de gendarme du capitalisme : il manie la carotte et le bâton. D’un côté, il temporise face aux lycéens, de l’autre, il met en marche le rouleau compresseur de la justice contre ceux qui s’insurgent, ce qui le place en position de force tant que le mouvement social s’inscrit docilement dans le cadre étriqué des grèves carrées de vingt-quatre heures. Bien évidemment, la Fédération anarchiste appelle le 29 janvier à cesser le travail partout, à manifester massivement. Néanmoins, l’essentiel tient dans une seule question : que faire si , comme c’est probable, le gouvernement ne donne le 29 au soir aucun signe qu’il a compris ce que nous voulons ? La réponse pourrait être : reconduisons la grève, exproprions le capital, gérons nous-mêmes nos lieux de travail et nos conditions d’existence, sans patrons ni Etat !
Fédération anarchiste
Manifestation à besançon
Rendez vous jeudi 29 janvier à 11h00 place de la révolution
Après la rafle des manifestantEs
Après la rafle des manifestantEs contre l’antiterrorisme samedi dernier…
Les sept arrêtéEs du central 13 sont dehors avec une convocation au tribunal le 6 mai, interpellés par des BAC hors de la nasse bleue qui enfermait la plupart des manifestants, ils sont accusés d’avoir refusé de se disperser suite à des sommations policières qui n’ont pas eu lieu…
Les sept ou huit arrêtéEs du commissariat Riquet ont été déférés au substitut du procureur, ont passé la nuit au dépôt et vont comparaître aujourd’hui lundi à 13h30 devant la 23e ou la 23.2e chambre correctionnelle du TGI au Palais de justice (Métro Cité). Ils seraient finalement accusés de violences sur agents dépositaires de la force publique, rébellion, dégradations.
Lors de cette audience, ils devraient refuser de comparaître immédiatement afin, comme la loi l’autorise, de préparer leur défense. Le risque de mise en détention provisoire n’est pas exclu, merci donc de faire circuler le rendez-vous.
26 janvier, 11h15.
Une centaine de militants interpellés à Paris
NOUVELOBS.COM | 24.01.2009 | 18:42
Ils se rassemblaient à Paris en solidarité avec Isa, Juan et Damien, incarcérés dans le cadre d'une instruction antiterroriste.
Les forces de l'ordre ont procédé à des interpellations massives,
samedi 24 janvier à Paris, lors d'une manifestation en soutien à trois militants placés en détention provisoire dans le cadre d'une enquête
antiterroriste.
Une centaine de personnes -des manifestants et des passants- ont été interpellées vers 15h au niveau du métro Barbès-Rochechouart, dans le XVIIIe arrondissement de Paris. La manifestation se
déroulait dans le cadre de la semaine "Sabotons l'antiterrorisme". Les participants voulaient marquer leur soutien à Isa, Juan et Damien, placés en détention provisoire. Ils ont déployé une
banderole "Solidarité avec les révoltés incarcérés" et ont distribué des tracts appelant à une nouvelle manifestation organisée le 31 janvier, en soutien aux inculpés de l'antiterrorisme.
Une opération d'envergure
Peu de temps après son arrivée, le groupe, qui comptait environ cent à deux cent personnes, selon la police et des participants, s'est retrouvé face à un cordon de CRS tandis qu'il avançait
boulevard Barbès. Il lui fut impossible de faire demi-tour, les forces de l'ordre étant déjà présentes de l'autre coté. Les arrestations commencèrent très rapidement.
"La plupart de ceux qui étaient dans le cortège de départ se sont fait embarquer, environ une centaine de personnes" estime un manifestant. Contactée par nouvelobs.com, la préfecture de police confirme la tenue de l'opération et estime elle aussi le nombre
d'interpellations à une centaine. "Il s'agissait d'une manifestation non déclarée de la mouvance contestataire. Ils n'avaient pas le droit de se rassembler. Les policiers ont appelé à la
dispersion mais les manifestants n'ont pas obéit" nous explique le service de presse de la préfecture.
"Je n'ai pas entendu d'ordre de dispersion. De toute façon, c'était impossible, nous étions bloqués entre deux cordons de CRS, le métro (aérien ndlr) et les immeubles" témoigne une
participante.
"Des badauds aussi se sont fait arrêter"
Des échauffourées ont eu lieu. Les forces de l'ordre ont utilisé quantité de gaz lacrymogène, selon des témoins. "Voyant les gens suffoquer, une employée de la RATP a ouvert les grilles du métro
pour permettre à une dizaine de personnes de s'enfuir, mais elle aussi s'est faite gazer" nous raconte un manifestant. "Des badauds aussi se sont fait arrêter", témoignent plusieurs personnes
présentes sur les lieux.
Des policiers en civil ont poursuivi les interpellations jusqu'à 17h dans les rues adjacentes.
La préfecture a assuré à nouvelobs.com qu'il ne s'agissait pas
d'une opération policière particulière: "C'était un dispositif adéquat, normal pour répondre au refus de dispersion d'une manifestation non déclarée".
Notre histoire
Une des figures les plus marquantes de l'anarchisme japonais.
Fils d'un pharmacien, il naît le 22 septembre 1871 à Nakamura (Japon). Il effectue des études de médecine. D'abord disciple du rousseauiste japonaisTsomin Nakae, il évoluera ensuite vers le socialisme puis l'anarchisme.
En 1901, journaliste et écrivain, il publie son premier livre "L'impérialisme, monstre du 20e siècle", puis en 1903 "L'essence du socialisme". Il crée avec Toshihito SAKAI l'hebdomadaire "La Plèbe" (Heimin Shimbun"), mais ce journal est interdit suite à un de ses articles contre la guerre Russo-japonaise. En 1905, Kotoku est emprisonné durant cinq mois pour propagande subversive et c'est là qu'il découvre l'anarchisme, à la lecture d'un texte de Pierre Kropotkine. Libéré, il part aux Etats-Unis où il prend contact avec des anarchistes. De retour au Japon en 1906, il réédite le journal "La Plèbe", et traduit la "Conquête du pain"(Pan no Ryakushu) de Kropotkine. En février 1907, il déclare dans un article publié dans "Heimin Shimbun" être partisan de l'action directe : "Le suffrage universel et le parlementarisme ne conduisent pas à une véritable révolution sociale et il n'y a pas d'autre solution pour l'obtenir que l'action directe à travers l'union de tous les travailleurs." Il mène alors, malgré la répression, une active propagande : outre le journal "Heimin Shimbun" qui sera interdit, il crée la revue "Yaradsu Chohu" (Action Directe) et milite pour la création de syndicats à travers des tournées de propagande. Mais, en 1908, la répression s'intensifie encore et de nombreux anarchistes sont jetés en prison. Kotoku continue à écrire des essais qui dénoncent le militarisme ou qui démontrent l'inexistence du Christ. Auteur prolifique, ses articles compilés nécessiteront plusieurs volumes.
Mais en 1910, face au développement du mouvement libertaire, le gouvernement prétextant un complot contre l'empereur fait emprisonner 24 anarchistes. Kotoku est quant à lui arrêté en août alors qu'il tentait d'embarquer pour aller assister en Europe au Congrès socialiste international de Copenhague. Le 18 janvier 1911, un procès sommaire en condamne douze à la pendaison, dont Kotoku et sa compagne Sugo Kanno, les autres prévenus seront emprisonnés à vie.
Sauvons l'hôpital
Le 22 JANVIER :
manifestation régionale.
De l’argent pour la santé,
Pas pour les financiers
Au CHU de Besançon... :
Le CHU affiche un déficit prévisionnel de 15 millions d’euros pour 2009. L’ARH a stoppé les embauches sur l’établissement depuis juillet 2008, remet en question l’accord 35h et s’apprête à imposer un contrat de retour à l’équilibre financier.
Le directeur général de l’hôpital veut nous faire travailler en journée de 7h 30 et ainsi nous supprimer 10, 5 ou 12, 5 jours de repos. Par ce biais, et le non remplacement des départs en retraite, l’effectif sera amputé de 200 postes.
Des relèves plus courtes, des RTT en moins, un bon nombre de collègues contractuels ou CAE remerciés, les départs en retraite plus systématiquement remplacés vont encore aggraver des conditions de travail déjà bien difficiles.
Alors qu’aujourd’hui on galère dans les services, comment va-t’on pouvoir continuer à assurer la sécurité et la qualité des soins dans ces conditions ? Entre les vacances, les maladies ou les congés maternité non remplacés, les repos et les récupérations repoussés, on n’en peut déjà plus.
... et ailleurs :
Mais cette situation n’est pas isolée. Au niveau national, c’est environ
20 000 postes qui sont menacés. Le CHU de Nancy annonce la suppression de 650 postes, les hôpitaux parisiens affichent un plan social de 2600 postes pour 2008, Nantes, Lyon, Nice annoncent tous des plans de retour à l’équilibre avec, chacun, entre 350 et 500 suppressions de postes.
Dans de telles conditions, les hospitaliers sont choqués mais pas étonnés par les dysfonctionnements dramatiques véhiculés par les médias, ces dernières semaines.
Le gouvernement a organisé lui même l’asphyxie des hôpitaux. C’est lui qui est responsable de cette situation.
La ministre de la santé explique que les établissements ont les moyens puisque les budgets ont augmenté de 3% pour 2009. Ce qu’elle ne dit pas, c’est que, d’après la Fédération Hospitalière de France, pour maintenir ce qui existait en 2008, il faudrait au minimum une augmentation de 4% pour faire face à l’augmentation des prix. Début 2009, les établissements savent qu’ils devront licencier pour pouvoir continuer à fonctionner.
Il n’y aurait pas de suppressions de postes dans les établissements, mais des non remplacements de tous les départs en retraite : le gouvernement joue sur les mots, dans les services, nous serons, de fait, beaucoup moins nombreux et de moins en moins en capacité d’assurer la sécurité des patients.
Les établissements publics, fin 2008, affiche un déficit avoisinant le milliard
d’euros. Cela, alors que les cliniques assurent un taux de rentabilité de 20% à ses actionnaires.
Le gouvernement a débloqué des milliards pour les banques et l’industrie et condamne les hôpitaux à une mort certaine.
La santé, c’est l’affaire de tous,
Nous avons le devoir de défendre les conditions d’accueil et de travail de qualité de l’hôpital public.
C’est tous ensemble que nous devons nous battre contre son démantèlement !
Par hôpital en lutte publié dans : Assemblées générales
http://intersyndicale-chub.over-blog.com/
Libération d’Yldune
Nous apprenons avec une grande joie la libération d’Yldune ce vendredi. Joie de la savoir dehors plutôt qu’entre quatre murs, joie de voir la machinerie juridico-policière dérailler toujours un
peu plus. Cette joie n’entame en rien notre colère.Julien est encore
derrière les barreaux.Les charges d’"association de malfaiteurs en relation avec une entreprise
terroriste" pèsent encore sur les neufs personnes interpellées le 11 novembre, ainsi que sur les autres prétendus "anarchos-autonomes" arrêtés cette année. Colère de ne pouvoir revoir nos amis
"libérés", assignés à domicile dans des départements où ils n’ont rien à faire…
La suite sur : http://www.soutien11novembre.org/
Scandale dans le nucléaire français
URGENT - Scandale dans le nucléaire français
Défaillance généralisée des mesures de rejets radioactifs dans l'environnement :
les laboratoires de toutes les centrales nucléaires EDF ont perdu leurs agréments !
Demandez des
explications aux directeurs des centrales nucléaires
en leur téléphonant ou en leur envoyant la lettre ci-dessous.
(Voir les coordonnées des centrales à la fin de ce mail et en fichier joint)
Consultez le dossier complet sur :
http://www.sortirdunucleaire.org/